Monochamus galloprovincialis (Olivier, 1795)

Classe : Hexapoda Ordre : Coleoptera Famille : Cerambycidae Sous-Famille : Lamiinae Tribu : Monochamini Genre : Monochamus

  • 47
    observations

  • 36
    communes

  • 37
    observateurs

  • Première observation
    2014

  • Dernière observation
    2024
Abiven Thomas - Blasco André - Bompar Jean-michel - Boutreux Thomas - Buffe Patricia - Charpin Magali - Corail Marc - Coulon Jacques - Creuly Philippe - Crégu Alexandre - De Pinho Agnès - De Schoenmacker Muriel - Devaud Jean François - Ellie Aline - Eon Agathe - Favre Philippe - Fortini Philippe - Fouchard Marion - Goetz Marie - Grillet Martine - Hallot Jacques - Jouvenez Gaëtan - Juignet Maxime - Lajoie Mickael - Lartaud Margot - Lehalle Alain - Lhuillier Robin - Louvel Thiery - Muguet Richard - Papé Louis - Paumier Jean-marc - Seguin Chantal - Serie Marie-george - Soldi Olivier - Thibaut Fabienne Et Patrick - Van Der Yeught Alexandre - Vincent Alexis

Informations sur l'espèce

Taille :

12 – 26 mm

Diagnose :

Capricorne au corps de coloration brun noir ou rougeâtre, recouvert de pubescence blanc jaunâtre ou grisâtre, disposée en taches irrégulières. Pronotum convexe à protubérances latérales développées et aiguës. Antennes longues, en général rougeâtre. Élytres longs, parallèles, arrondis à l’apex, ornés de deux ou trois bandes transversales grises, entre lesquelles on distingue des taches de pubescence ocre doré.

Détermination : 

délicate.

Espèces proches :

Elle se distingue des autres Monochamus par un scutellum couvert de pubescence rousse, à l’exception d’une petite aire basale dénudée, ses antennes rougeâtres et ses élytres sans dépression basale.

Période d’observation :

Les adultes sont actifs de mai à septembre.

Biologie-éthologie :

La larve se développe dans les branches ou les troncs fraichement mort au sol de conifères, surtout des pins. Le cycle biologique dure un an, parfois deux.

Biogéographie et écologie :

Espèce à large répartition ouest-paléarctique. En France, elle est largement répandue y compris dans les plantations de pins.

 D’après :
- Berger, P. 2012. Coléoptères Cerambycidae de la faune de France continentale et de Corse - Actualisation de l'ouvrage d'André Villiers, 1978. Revue de l’Association Roussillonnaise d’Entomologie, supplément tome XXI, 664 p.
- Touroult, J., Cima, V., Bouyon, H., Hanot, C., Horellou, A., Brustel, H., 2019 – Longicornes de France Atlas préliminaire (Coleoptera : Cerambycidae & Vesperidae). Supplément au bulletin d’ACOREP – France, Paris. 176 p.

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Cerambyx galloprovincialis Olivier, 1800 |

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