Phymatodes testaceus (Linnaeus, 1758)

Classe : Hexapoda Ordre : Coleoptera Famille : Cerambycidae Sous-Famille : Cerambycinae Tribu : Callidiini Genre : Phymatodes

  • 12
    observations

  • 11
    communes

  • 9
    observateurs

  • Première observation
    2016

  • Dernière observation
    2024
Bouvin Laurent - Coulon Frederic - Coulon Jacques - Grillet Martine - Pelissier Robert - Sampéré Aurélie - Souret Luc - Thevenin Simon - Weiss Léni

Informations sur l'espèce

Taille (imago) : 6-18 mm

Diagnose : Longicorne allongé, stature parallèle, antennes de longueur approximativement égale à celle du corps. Coloration très variable : entièrement jaunâtre, ou entièrement sombre, bleuté à noir, ou bicolore. Pronotum (dessus du thorax) plus large que long, avec des soies longues dressées. Tarses allongés.

Détermination : Moyennement difficile

Espèces proches :

Les formes jaunâtres ressemblent au rare Leioderes kollari mais s'en distinguent par le thorax plus large, et la stature plus courte, et les tarses fins (épais, à article II et III transverses pour Leioderes). Ressemble également à Poecilium lividum, mais ce dernier est plus grêle et présente une coloration brune.

Période d'€™observation : Principalement de mai à juillet, mais peut émerger plus tôt de buches conservées dans les maisons; parfois jusqu'en août.

Biologie-éthologie :

Espèce saproxylophage, qui consomme du bois mort des divers chênes et moins fréquemment de toute sorte de feuillus. La larve se développe sous l'écorce de grosses branches (typiquement 10-20 cm de diamètre) et de petits troncs. Cycle de développement de un ou deux ans. Adulte crépusculaire et nocturne. L'adulte est attiré par les pièges à appâts fermentés, ce qui laisse à penser qu'il consomme des suintements de sève.

Biogéographie et écologie :

Vaste distribution holarctique : de l'Europe à l'Afrique du Nord, jusqu'au Japon et une partie de l'Amérique du Nord. Espèce commune bien qu'assez discrète ; elle peut polluler dans certains tas de bûches. Elle vit dans les forêts feuillues, en particuliers les chênaies, et dans les bocage, en plaine et en moyenne montagne. Cette espèce est souvent déplacée jusque dans les villes via les bûches de bois de feu.

Non renseigné pour le moment
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Callidium italicus Gmelin, 1790 | Callidium ruficollis Fabricius, 1781 | Callidium violaceum Rossi, 1790 | Cerambyx testaceus Linnaeus, 1758 |

Observations par classes d'altitudes

Observations mensuelles