Épeire des fissures

Nuctenea umbratica (Clerck, 1758)

Classe : Arachnida Ordre : Araneae Famille : Araneidae Genre : Nuctenea

  • 171
    observations

  • 91
    communes

  • 40
    observateurs

  • Première observation
    2015

  • Dernière observation
    2023

Aiguines - Ancelle - Ansouis - Arles - Artigues - Beaujeu - Beaumont-de-Pertuis - Beaumont-du-Ventoux - Bédoin - Belvédère - Besse-sur-Issole - Bras-d'Asse - Briançon - Caderousse - Camaret-sur-Aigues - Carpentras - Castellane - Cavaillon - Chabottes - Colmars - Coursegoules - Courthézon - Cruis - Entraigues-sur-la-Sorgue - Entraunes - Étoile-Saint-Cyrice - Flassan - Fontaine-de-Vaucluse - Gourdon - Gréolières - Guillaumes - Isola - La Bâtie-Neuve - La Brigue - La Motte-d'Aigues - La Motte-en-Champsaur - Laragne-Montéglin - La Robine-sur-Galabre - La Roquette-sur-Siagne - Le Bar-sur-Loup - Le Lauzet-Ubaye - Le Puy-Sainte-Réparade - Les Baux-de-Provence - L'Escale - Les Mées - Les Orres - L'Isle-sur-la-Sorgue - Mallefougasse-Augès - Mandelieu-la-Napoule - Maussane-les-Alpilles - Mérindol - Monieux - Mormoiron - Névache - Nossage-et-Bénévent - Oraison - Orpierre - Pernes-les-Fontaines - Pierrefeu-du-Var - Puy-Saint-Vincent - Roquebrune-sur-Argens - Roure - Rustrel - Sablet - Saint-Chamas - Saint-Dalmas-le-Selvage - Saint-Didier - Saint-Étienne-de-Tinée - Saint-Étienne-du-Grès - Saint-Jeannet - Saint-Julien-du-Verdon - Saint-Jurs - Saint-Léger-les-Mélèzes - Saint-Maximin-la-Sainte-Baume - Saint-Paul-lès-Durance - Saint-Rémy-de-Provence - Saint-Saturnin-lès-Apt - Saint-Vallier-de-Thiey - Sigoyer - Sivergues - Sospel - Tende - Utelle - Vaison-la-Romaine - Valderoure - Venasque - Villars - Villeneuve - Villes-sur-Auzon - Vins-sur-Caramy - Vitrolles-en-Lubéron

Aynié Marc - Bareyre Thomas - Barriere Roger - Beillard Amélie - Boswarthick Ryan - Bourderionnet Guy - Cabrera Cédric - Charpin Magali - Claude Huguette - Corail Marc - Deffarges Joss - Desprez Jean-marin - Drouard Françoise - Ducos Élie - Dupland Eliane - Encinas Lilian - Favre Philippe - Fay Richard - Fievet Claude - Filloleau Ludovic - Galli Martin - Garnier Matthieu - Gnagni Rudy - Grimaud Sylvain - Guerbaa Karim - Jouvenez Gaëtan - Leblanc Olivier - Lemoine Vincent - Louvel Thiery - Martin Jean-jacques - Martinez Nicolas - Menauge Ronan - Rancilhac Loïs - Sané Raphaël - Spinner Louis - Stenou Boris - Tcheng Emmanuel - Thevenin Simon - Van Der Yeught Alexandre - Vasseur Maxime

Informations sur l'espèce

Distribution mondiale

toute l’Europe, Afrique du Nord

Caractères distinctifs, espèces

Taille - femelle : 12-16 mm, mâle : 7-10 mm.

C’est une épeire de grande taille dont le corps est fortement aplati dorso-ventralement. La couleur générale est brun sombre, avec un dessin médian triangulaire aux bords festonnés plus foncés que les bords de l’abdomen. Les attaches des muscles dorso-ventraux de l’abdomen sont bien visibles. Ils forment 3 paires de dépressions circulaires. La face ventrale de l’abdomen présente deux taches blanches. Il existe une espèce proche ( N. corticalis), plus unicolore, endémique de Corse.

Milieux colonisés

Elle colonise des milieux très divers qui disposent de supports élevés (arbres souvent morts, piquets, poteaux, …) et des cachettes diurnes possibles (écorces, fentes de piquets, bordures de toits, …).

Chasse

Elle tisse sa toile à proximité d’un site où elle peut se cacher. Il lui suffit d’une fissure de quelques millimètres pour qu’elle puisse y glisser son corps assez plat. La toile est assez grande (40-50cm), le point de convergence des rayons est nettement situé en haut de la toile, les spires sont assez espacées. Elle sort la nuit pour reconstruire sa toile et se tient au centre de son piège jusqu’au matin. Le jour, elle reste dans son repaire, souvent avec une patte posée sur un des fils supports. Il lui arrive de réagir à une capture diurne et de venir emmailloter puis emmener la proie. Elle capture différents types d’insectes volants dont des papillons nocturnes. En cas de danger, elle se laisse tomber au sol et reste longtemps en immobilisation réflexe.

Développement, cycle

Les adultes sont visibles toute l’année, les mâles sont nettement plus abondants en été. Le cycle est principalement annuel. La période d’accouplement a lieu en fin d’été mais les femelles ne pondent qu’après l’hiver. Plusieurs cocons seront pondus jusqu’au début de l’été, chacun d’une centaine d’œufs.

Non renseigné pour le moment
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Araneus umbraticus Clerck, 1758 |

Observations par classes d'altitudes

Observations mensuelles