Plagionotus floralis (Pallas, 1773)
Classe :
Hexapoda
Ordre :
Coleoptera
Famille :
Cerambycidae
Sous-Famille :
Cerambycinae
Tribu :
Clytini
Genre :
Plagionotus
- 9 observations
-
5
communes -
5
observateurs -
Première observation
2020 -
Dernière observation
2024
Informations sur l'espèce
Taille :
6-20 mm
Diagnose :
Corps noir allongé, les antennes et les pattes rousses, les fémurs obscurcis. Chaque élytre avec une tache ovalaire à la base, 3 larges fascies et l’apex jaunes ou blanc grisâtre.
Détermination :
moyennement difficile.
Espèces proches :
confusion possible avec d’autres capricornes jaunes et noirs.
Période d’observation :
On peut observer l’adulte de mai à juillet.
Biologie-éthologie :
L’adultes se rencontre sur diverses fleurs, panicauts, ombellifères, euphorbes et scabieuses. La larve développe dans les plantes herbacées, notamment Euphorbia gerardiana, Medicago stiva et Achillea millefolium.
Biogéographie et écologie :
En Europe, du sud de la France au Kazakhstan, Asie Mineure, Caucase, nord de l’Iran et Sibérie. Espèce plutôt thermophile assez rare.
D’après :
BERGER, P., 2012 - Coléoptères cerambycidae de la faune de France continentale et de Corse - Actualisation de l'ouvrage d'André Villiers, 1978. Revue de l’Association Roussillonnaise d’Entomologie, supplément tome XXI , 664 p.
6-20 mm
Diagnose :
Corps noir allongé, les antennes et les pattes rousses, les fémurs obscurcis. Chaque élytre avec une tache ovalaire à la base, 3 larges fascies et l’apex jaunes ou blanc grisâtre.
Détermination :
moyennement difficile.
Espèces proches :
confusion possible avec d’autres capricornes jaunes et noirs.
Période d’observation :
On peut observer l’adulte de mai à juillet.
Biologie-éthologie :
L’adultes se rencontre sur diverses fleurs, panicauts, ombellifères, euphorbes et scabieuses. La larve développe dans les plantes herbacées, notamment Euphorbia gerardiana, Medicago stiva et Achillea millefolium.
Biogéographie et écologie :
En Europe, du sud de la France au Kazakhstan, Asie Mineure, Caucase, nord de l’Iran et Sibérie. Espèce plutôt thermophile assez rare.
D’après :
BERGER, P., 2012 - Coléoptères cerambycidae de la faune de France continentale et de Corse - Actualisation de l'ouvrage d'André Villiers, 1978. Revue de l’Association Roussillonnaise d’Entomologie, supplément tome XXI , 664 p.
Non renseigné pour le moment
Non renseignée pour le moment
Cerambyx floralis Pallas, 1773
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Echinocerus floralis
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