Pseudovadonia livida (Fabricius, 1777)

Classe : Hexapoda Ordre : Coleoptera Famille : Cerambycidae Sous-Famille : Lepturinae Tribu : Lepturini Genre : Pseudovadonia

  • 240
    observations

  • 74
    communes

  • 41
    observateurs

  • Première observation
    1997

  • Dernière observation
    2023
Abiven Thomas - Bedrines Georges - Benaiche Lucas - Bouvin Laurent - Brook Shamgar - Corbineau François - Coulon Jacques - D'accunto Andrea - Deffarges Joss - Desprez Jean-marin - Devaud Jean François - Domalain Jules - Drouard Françoise - Filloleau Ludovic - Frenoux Jean-marie - Galli Martin - Gloria Christian - Hallot Jacques - Havet Frédéric - Janiaud Joseph - Jouvenez Gaëtan - Juignet Maxime - Kern Patrick - Lajoie Mickael - Lehalle Alain - Longarini Sarah - Louvel Thiery - Marie Jean Pierre - Martinez Nicolas - Muller Roland - Nedjari Meriem - Nogues Bernard - Reisinger Olivier - Roca Filella Georges - Senes Edith - Serie Marie-george - Souret Luc - Thourault Aurore - Van Der Yeught Alexandre - Zorzi Aurélien - Zwank Aline Et François-marie

Informations sur l'espèce

Taille : 5-10 mm

Diagnose :

Petit longicorne aux élytres de jaune à rougeâtre, avec une plage un peu plus sombre autour de l'écusson; appendices noirs à brun sombre. Joues allongées; pronotum globuleux; pubescence élytrale régulière; apex élytral arrondi. Antennes relativement courtes et épaisses.

Détermination : Moyennement difficile, possible sur photo (simple pour connaisseur).

Espèces proches :

Peut être confondue avec d'autre petits Leptures noir à élytres jaune-rougeâtre : Stictoleptura fulva et Anastrangalia sanguinolenta (plus grands et à apex élytral sombre); Sticoleptura hybrida et S. maculicornis (aux antennes annelées de jaune); Stenurella spp. (plus allongés); Alosterna tabacicolor (plus étroit, élytres jaunes); Acmaeops spp. (apex élytral tronqué). 

Période d’observation (adultes) : Mai à août, pic en juin.

Biologie-éthologie :

Cycle biologique de deux ans. La larve se développe dans le sol, où elle consommerait des racines mortes de plantes ligneuses ou herbacées, combinées à du mycélium. Certains auteurs indiquent un développement dans le bois en décomposition de feuillus mais cela ne semble pas être le mode de développement principal, car l'espèce n'a pratiquement jamais été obtenue d'émergence de bois en décomposition. L'adulte est diurne et floricole. Il s'observe surtout sur les fleurs de la strate herbacée; sur de nombreuses espèces de fleurs, particulièrement sur les achillées.

Biogéographie et écologie :

Large répartition paléarctique, du Royaume-Uni à la Sibérie. Espèce commune, rudérale et généraliste en terme d'habitat. L'espèce s'observe dans les bocages, prairies, garrigues, lisières et allées forestières, landes et dunes littorales, parcs et certains jardins.

Non renseigné pour le moment
Non renseignée pour le moment
Leptura livida Fabricius, 1777 | Pseudallosterna livida (Fabricius, 1777) |

Observations par classes d'altitudes

Observations mensuelles