Stictoleptura rubra (Linnaeus, 1758)

Classe : Hexapoda Ordre : Coleoptera Famille : Cerambycidae Sous-Famille : Lepturinae Tribu : Lepturini Genre : Stictoleptura

  • 42
    observations

  • 27
    communes

  • 18
    observateurs

  • Première observation
    2017

  • Dernière observation
    2023
Bonmariage Pierre - Clède Sylvain - Corail Marc - Coulon Jacques - Desprez Jean-marin - Drouard Françoise - Fay Richard - Kern Patrick - Lajoie Mickael - Leblanc Olivier - Lemoine Vincent - Louvel Thiery - Ruchon Emmanuel - Senes Edith - Serie Marie-george - Spinnler Françoise - Tcheng Emmanuel - Thevenin Simon

Informations sur l'espèce

Taille : 10-20 mm

Diagnose : Grand lepture à stature assez forte. Pattes toujours bicolores : fémurs noirs, tibias roux ou jaunâtres. Fort dimorphisme sexuel : mâle au thorax noir, élytres jaunes et rétrécis vers l'apex et antennes dentés ; femelle plus large, au thorax et au élytres rouges, et aux antennes à peine dentés. Pronotum (dessus du thorax) à ponctuation très dense (points quasi-contigus).

Détermination : Moyennement difficile (possible sur photo).

Espèces proches : Le mâle peut être confondu avec Stictoleptura fulva et les mâles d'Anastrangalia mais s'en distingue par les pattes bicolores et l'absence de tâche sombre à l'apex des élytres. La femelle peut être confondue avec plusieurs Stictoleptura et les femelles d'Anastrangalia, la plus ressemblante étant S. fontenayi. Elle s'en distingue par la coloration des pattes et la ponctuation du pronotum (qui est beaucoup plus espacée chez S. fontenayi).

Période d’observation : Mai à septembre, avec un pic en juillet et août.

Biologie-éthologie : Larve saproxylophage, qui consomme le bois mort de résineux, au niveau des souches et troncs. Mentionné également de feuillus, ce qui paraît constituer des plantes-hôtes occasionnelles. Cycle de plusieurs années. Adulte diurne et floricole.

Biogéographie et écologie : Très large répartition, de la Scandinavie à la zone méditerranéenne et jusqu'en Sibérie. Forêts résineuses de plaine et montagnes, y compris dans les plantations. En plaine tempérée, notamment en France, sa présence serait due à une colonisation "semi-naturelle" récente, l'espèce ayant suivi le développement des plantations de résineux, probablement par dispersion naturelle.

Non renseigné pour le moment
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Aredolpona rubra (Linnaeus, 1758) | Corymbia rubra (Linnaeus, 1758) | Leptura rubra Linnaeus, 1758 | Leptura testacea |

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