- 9 observations
-
6
communes -
6
observateurs -
Première observation
2020 -
Dernière observation
2023
Informations sur l'espèce
Taille : 8,5 – 11,5 mm
Diagnose :
Punaise relativement grande, entièrement noire et allongée, presque rectangulaire. Ses yeux sont peu saillants et sa tête n’est pas échancrée. L’extrémité de son scutellum est relativement étroite et anguleuse. Elle n’a pas d’épines et/ou de soies sur les bords de la tête, les bords du pronotum et les ailes, et elle a des pattes épineuses (sous-famille des Sehirinae).
Détermination : Moyennement difficile.
Espèces proches :
Cette espèce est morphologiquement très proche de Sehirus luctuosus. On la distingue par sa plus grande taille, car Sehirus luctuosus mesure moins de 8,3 mm et par ses cories (partie sclérifiée des ailes antérieures) qui ne présentent pas de reflet bronzé.
Période d’observation : Mars à septembre avec un pic en juin.
Biologie-éthologie :
Sehirus morio a été trouvée au pied et sur les tiges de différentes espèces de buglosses et de cynoglosses. Des colonies ont été observées au sein des racines du buglosse d’Italie dans les milieux sablonneux. Les Sehirus semblent vivre et s'alimenter uniquement sur certaines boraginacées.
Biogéographie et écologie :
Sehirus morio a aussi une distribution eurosibérienne mais seulement jusqu'à 58° de latitude nord, et elle est absente en Grande-Bretagne. Elle vit en plaine plutôt que dans les régions montagneuses et on la rencontre sur tout le littoral méditerranéen. C’est une espèce peu commune dans ses biotopes.
Diagnose :
Punaise relativement grande, entièrement noire et allongée, presque rectangulaire. Ses yeux sont peu saillants et sa tête n’est pas échancrée. L’extrémité de son scutellum est relativement étroite et anguleuse. Elle n’a pas d’épines et/ou de soies sur les bords de la tête, les bords du pronotum et les ailes, et elle a des pattes épineuses (sous-famille des Sehirinae).
Détermination : Moyennement difficile.
Espèces proches :
Cette espèce est morphologiquement très proche de Sehirus luctuosus. On la distingue par sa plus grande taille, car Sehirus luctuosus mesure moins de 8,3 mm et par ses cories (partie sclérifiée des ailes antérieures) qui ne présentent pas de reflet bronzé.
Période d’observation : Mars à septembre avec un pic en juin.
Biologie-éthologie :
Sehirus morio a été trouvée au pied et sur les tiges de différentes espèces de buglosses et de cynoglosses. Des colonies ont été observées au sein des racines du buglosse d’Italie dans les milieux sablonneux. Les Sehirus semblent vivre et s'alimenter uniquement sur certaines boraginacées.
Biogéographie et écologie :
Sehirus morio a aussi une distribution eurosibérienne mais seulement jusqu'à 58° de latitude nord, et elle est absente en Grande-Bretagne. Elle vit en plaine plutôt que dans les régions montagneuses et on la rencontre sur tout le littoral méditerranéen. C’est une espèce peu commune dans ses biotopes.
Non renseigné pour le moment
Non renseignée pour le moment
Cimex morio Linnaeus, 1760
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Cydnus morio (Linnaeus, 1760)
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Sehirus affinis Herrich-Schaeffer, 1830
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