• 277
    observations

  • 89
    communes

  • 44
    observateurs

  • Première observation
    2018

  • Dernière observation
    2025
Abiven Thomas - Bailleul Philippe - Barrera Gael - Barthélemy Eric - Benaiche Lucas - Blanchard Jean-baptiste - Bompar Jean-michel - Bouvin Laurent - Brook Shamgar - Buissart Julien - Charpin Magali - Coulon Frederic - Cretin Sylvain - Desprez Jean-marin - Drouard Françoise - Fabrice Jullien - Favre Philippe - Febvay Quentin - Filloleau Ludovic - Grimaud Aurélien - Hallot Jacques - Havet Frédéric - Jouvenez Gaëtan - Leblanc Olivier - Lemoine Vincent - Louvel Thiery - Marrou Jean Pierre - Martin Jean-jacques - Maxence - Morel Stella - Nogues Bernard - Pelozuelo Laurent - Raphaël - Reisinger Olivier - Seguinel Louise - Souret Luc - Springaux Charlotte - Tcheng Emmanuel - Thevenin Simon - Tomati Christophe - Tournieux Damien - Van Der Yeught Alexandre - Vincent-guédou Jany Et Bernard - Viricel Gilles

Informations sur l'espèce

Taille : 9,1 – 11,5 mm

Diagnose :
Punaise allongée dont le scutellum recouvre les ailes et l’abdomen en atteignant son extrémité. Corps ocre-clair parsemé de bandes et lignes longitudinales plus foncées, jaunâtres, brunâtres ou rougeâtres. Angles huméraux du scutellum saillants. Le scutellum est rétréci à l’apex marqué par 2 bandes longitudinales avec un angle net en leur centre. Cette extrémité caudale du scutellum est allongée mais dépasse peu l’extrémité de l’abdomen, et elle n’est pas rétrécie en spatule à l’apex ou dirigée vers le haut.

Détermination : Moyennement difficile.

Espèces proches :
Elle peut être confondue avec O. purpureolineatus qui a les angles huméraux du pronotum moins saillants, une queue scutellaire plus large et courte, avec 2 traits apicaux colorés sans angle net en leur centre. O. caudatus est plus fine et plus longue, avec des angles huméraux moins saillants et le scutellum dépassant largement l’apex de l’abdomen, ce qui n'est pas le cas chez O. robustus.

Période d’observation :
Mai à septembre, avec un pic important en juin.

Biologie-éthologie :
Sur les capitules d’astéracées en fleurs ou en fruits, et notamment les centaurées et les chardons comme les cirses et parfois sur les pimprenelles avec O. purpureolineatus.

Biogéographie et écologie :
Espèce européenne présente à l'est jusqu'en Turkmenistan et au Proche-Orient jusqu’en Irak, mais absente en Afrique du Nord. Elle ne dépasse pas 900 m d'altitude, et se rencontre dans les prairies sèches, bords des chemins caillouteux, arrières dunes littorales, friches rudérales, garrigues, pentes calcaires, bords sablonneux des ruisseaux asséchés, oliveraies. C’est une espèce très commune dans toute la zone méditerranéenne très rare ou absente au-delà.
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Observations par classes d'altitudes

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