Punaise à pattes rousses

Pentatoma rufipes (Linnaeus, 1758)

Classe : Hexapoda Ordre : Hemiptera Famille : Pentatomidae Sous-Famille : Pentatominae Tribu : Pentatomini Genre : Pentatoma

  • 143
    observations

  • 72
    communes

  • 47
    observateurs

  • Première observation
    2015

  • Dernière observation
    2023
Barataud Julien - Barbier Margaux - Beillard Amélie - Benaiche Lucas - Bonmariage Pierre - Boule Cécile - Bouvin Laurent - Brook Shamgar - Brunet Clément - Cabrera Cédric - Charpin Magali - Claude Huguette - Corail Marc - Crouzier Marc - D'onofrio Patrice - De Pinho Agnès - Deffarges Joss - Desprez Jean-marin - Ducos Élie - Fagart Sylvain - Favre Philippe - Fievet Claude - Filloleau Ludovic - Galli Martin - Garnier Matthieu - Gaunet Aurélien - Giacobbi Louis-marie - Gnagni Rudy - Grimaud Sylvain - Guénon Alain - Isabelle - Jouvenez Gaëtan - Kern Patrick - Lallemant Jean-jacques - Le Roy Emmanuel - Loir Olivier - Marie Jean Pierre - Morel Stella - Oleszczynski Stéphan - Pajot Adrien - Pélissié Mathieu - Richard Christian - Roguet Véronique - Serie Marie-george - Siraud Aurélien - Souret Luc - Vallet Philippe

Informations sur l'espèce

Taille : 12 – 16 mm

Diagnose :
Grande punaise de couleur marron avec les pattes orange. Elle a les angles huméraux du pronotum prolongés en pointe élargie qui dépasse les bords du corps, le connexivum (bord de l’abdomen) bicolore alternativement sombre et clair, et l’apex du scutellum avec une tache orange.

Détermination : Simple.

Espèces proches :
Peu de risque de confusion avec ses angles huméraux du pronotum caractéristiques, son connexivum bicolore et l’apex de son scutellum orange. Elle est vaguement similaire à
Pinthaeus sanguinipes, une très rare espèce qui a la même coloration, mais celle-ci possède un rostre épais typique des Asopinae, des profémurs dentés, et 2 callosités blanches dans les angles du scutellum.

Période d’observation : Avril à octobre avec un pic principal en aout.

Biologie-éthologie :
Espèce arboricole qui se nourrit des fruits, fleurs et bourgeons de plusieurs arbres, dont les arbousiers, aubépines, aulnes, bouleaux, charmes, chênes, cornouillers, érables, frênes, hêtres, mélèzes, noisetier, prunus, saules, tilleuls. Elle commet parfois des dégâts sur les poiriers, pommiers, cerisiers et pêchers cultivés. Les larves de stade II hibernent et les adultes apparaissent seulement en été.

Biogéographie et écologie :
Espèce répandue dans toute la région paléarctique, atteignant 61° de latitude nord dans la péninsule Scandinave, et vers l'est, l'Inde, la Corée et le Japon, alors qu'au sud elle évite les zones méditerranéennes. Elle atteint 1 850 m d’altitude. C’est une espèce assez commune, sauf en zone méditerranéenne sèche où elle est absente. Elle colonise les régions boisées humides et fraîches : forêts de feuillus et de conifères, bords des rivières boisés, landes, marais, tourbières.

Non renseigné pour le moment
Non renseignée pour le moment
Cimex rufipes Linnaeus, 1758 | Tropicoris rufipes (Linnaeus, 1758)

Observations par classes d'altitudes

Observations mensuelles